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Quel évènement encouragea le déplacement de Louis Jourdan, son épouse Marie Lecaudey et leurs enfants, tous de Guéhébert.
Cette question reste pour le moment sans réponse. Un acte notarié du 12 mai 1827 fait état d’une fieffe de terre consentie audit Jourdan et à ses cinq fils, à l’hôtel Dairou de Ver le 29 dé-cembre 1791 par Michel Jean Lemarceuil, propriétaire de ladite terre.
Parmi les enfants du couple, tous nés à Guéhébert, se trouvent :
Laurent, Toussaint (1751-1823), marié à Charlotte Lenoir ; Louis, François (1753-1823) ; Pierre, André (1754-) ; René, Louis, André (-16 Frimaire an XI) ; André, Julien (1756-1827) ; Sulpice Jourdan (1762-1823) ; Suzanne ; Jeanne mariée à Jean-Baptiste, François Lehaut, lui aussi originaire de Guéhébert.
Qui leur donna le goût pour ce métier de fondeurs de cloches?
Les Jourdan vont s’impliquer dans la vie municipale de Ver puisque l’on trouve Sulpice qui est installé adjoint au maire par Pierre Henry de Mobecq, maire de la commune le 16 avril 1816. Sulpice et Laurent se déplacent avec leurs collègues du conseil municipal au château de Ver, où demeure monsieur de Mobecq, afin d’encourager ce dernier à les accompagner à la mairie de Ver.
La mort de Sulpice nécessite son remplacement comme adjoint le 22 mai 1823.
André succède au conseil municipal à son frère Laurent, Toussaint, décédé, le 12 mai 1824
Les Jourdan Lehaut, fondeurs de cloches, disposent d’une installation sédentaire à Ver. Le devis de La Haye Pesnel en 1793 et celui-ci l’attestent l’un et l’autre.
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Guéhébert L’ancien manoir, maintenant détruit collection CPA LPM 1900 | ||||||||||||