| ||||||||||||
Par Gérard Vilgrain-Bazin Archéologue, Président du G.R.A.C. Dans le courant de l’année 2010, monsieur Gilles Laisné, nous à fait part de la découverte d’une structure identique à la précédente mais située cette fois-ci, plutôt en face de l’église et à environ une quarantaine de mètres. Le relevé des principales dimensions n’étant pas évident à effectuer on peut cependant estimer la longueur à 5 m, la largeur à 2,15 m et la profondeur à 0,50 m donc, une capacité approximative d’un peu plus de 5 m³. Afin de maintenir la réserve d’eau, un petit barrage a été aménagé dans la partie ouest. | ||||||||||||
Il est composé de blocs de pierres liés au mortier avec un enduit extérieur. Côté est, une réserve naturelle d’eau permettait au moyen d’un petit conduit de maintenir une quantité suffisante dans le vivier. Pour en effectuer la vidange au moyen d’une vanne, dont il reste d’ailleurs un vestige en bois, on observe, dans l’angle sud-est, un plot de pierres liées au mortier.
Au fond de la partie nord, il reste quelques éléments de blocs pouvant correspondre éventuellement à un dallage.
Aucune période d'utilisation, ni au6cun élément de la fonction de ces deux viviers ne nous sont actuellement parvenus. Toutefois, on peut admettre à titre d’hypothèse un lien entre le parc à huîtres de la Caillourie et ces deux viviers, comme c’était le cas à Regnéville-sur- Mer. | ||||||||||||
Le vivier, au dessus la réserve d'eau | ||||||||||||
| ||||||||||||
| ||||||||||||
Le canal de vidange et les restes de la vanne en bois. | ||||||||||||